Brandon's Fans

comme dit, my angel, pas mal ton idée kal.
Voici les dessin:
le premier pour moi, c'est le plus reussit:
Edité par seb le 11/08/2006 à 16:36

Edité par le phoenix le 21/07/2009 à 17:15

oua mais il est super beau ton dessin c'est vachement bien dessiner chapeau bravo !

merci et attend voila le deuxième:
Edité par seb le 11/08/2006 à 16:37 Edité par le phoenix le 23/09/2006 à 18:05

Edité par le phoenix le 21/07/2009 à 17:17

hey jviens d'avoir une idée lumineuse (je sais c'est pas dure il suffit d'allumer la lumière^^)...et si on faisait un topic spécial artistes ou on mettrait toutes nos oeuvres, dessins, poèmes, histoires, photos de sculptures, maquettes, fringues perso, bref tt cque vs voulez?!

ouai c'est une trés bonne idée fait le .

cliquericic'est un lien pour un autre essaye de couverture

Edité par le phoenix le 23/09/2006 à 18:26

Ahhh pas mal du tout! tu dessines bien didonc benounou^^ Je sais pas pourquoi, je trouve qu'il a un petit air de ressemblance avec toi! lol

a bon tu trouve et bien tu men apprends des choses

bah sa devais etre moi qui divague^^ mais bon quand meme je sais pas peu etre au niveau du regard ou ché pas quoi...je trouvais que yavais un air

en fait tu as raison il y as un leger truc qui fait que. c'est la levre et legerement les yeux c'est a peu pres ressemblant

voila si tu le dis^^ tu te connais mieu toi meme que moi donc je te fais confiance! sa serais marant que tu essaie de faire ton autoportrait^^

marrant mais trop compliquer lol

bah, tu es le phoénix apres tout hein!^^ alors tu es capable de le faire

oui c'est vrai ca t'as pas tord

euh question... pourquoi ecrire le phoenix plutot que le phénix ?

Tout simplement car c'est un des rares mots de la langue française qui prend deux orthographes : "Phoenix" ou "Phénix". L'emploi le plus commun se porte toutefois sur la première version.

ahh merci Stéphany. Moi aussi je me posais cette question quand je voyais les deux orthographes!

voicit le debut du roman que je vous avez promis il a longtemps:
Le phœnix
Tome 1 : la naissance d’un mythe

Epilogue
L’Illusion parfaite

Egypte 2500 av J.C

Ainsi commence l’Histoire d’un être qui fut invoqué par une prêtresse d’Egypte, qui se nommait Phyläé . Cette prêtresse, peu connu, mais crainte par tous ceux qui servaient les forces occultes, ne souhaitait qu’une chose : que le monde connaisse enfin la paix, qu’il n’avait pas encore connu depuis sa naissance. Elle était consciente que cette lourde responsabilité serait difficile à porter et qu’elle n’y parviendrait pas seule. Faire un monde où la paix régnerait partout, n’était resté qu’un rêve, jusqu’au jour où elle rencontra Aross. Ils s’étaient rencontrés à la cour du Pharaon, lors d’une réception donné à son honneur. Ils leurs avaient suffit d’un seul regard pour se rendre compte qu’ils ne pouvaient se passer l’un de l’autre. Jamais Phyläé n’avait connu un amour aussi intense avec un homme et cela la rendait euphorique. Et c’est d’ailleurs cela qui la mena à sa propre perte. Comment aurait-elle put se douter que derrière, cet amour , se dissimulait la pire des trahison ? Aross lui mentait depuis le début. En effet, celui-ci était aux ordres d’Atess, le pire ennemi de Phyläé. Se fut bien après leurs rencontre qu’elle découvrit cela. Elle avait surpris une conversation où il ordonnait à un sbire d’aller apporter des informations d’une grande importance la concernant et pouvant aider à la tuer. Aross l’avait remarqué et il voulu expliquer, ses actes, à Phyläé qui avait du mal à contenir sa haine envers cet homme.
- Je dois t’avouer plusieurs choses, déclara-t-il. Tout d’abord, je ne suis pas celui que je prétend être. Il se trouve que je suis au service de ton ennemi. Celui que tu pourchasses depuis tant d’années, celui qui a tué tes parents.
- Ca, j’ai crus le comprendre, en entendant ce que tu disais à ce sbire.
Elle tremblait tellement de rage en prononçant ces mots, qu’il eu peur et décida de tout lui révéler. Jamais Phyläé ne s’était senti aussi trahi et humilié de toute son existence. Comment pourrait-elle pardonner à Aross, cette supercherie ? Mais puisqu’il était venu se justifier, elle décida de l’écouter et de voir ensuite se qu’elle ferait. C’est ainsi qu’elle découvrit que son amour de toujours ne s’appelais pas Aross, mais Tyrion. Elle fît plusieurs autres découvertes sur cet étranger, qu’il était désormais devenue pour elle.
- Je vais te raconter tout depuis le début, alors ça risque d’être long. Il y a près de trente ans de cela, Atess, a eu une vision de son échec. Un échec que tu allais lui causer. A cette époque, il avait créé une créature, Chimère, qui engendre depuis tout ce temps, mort et destruction. C’est parce qu’il souhaite être à la tête du monde qu’il a appelé, du néant, cette créature, mi-homme, mi-démon. Dans sa vision, il a vu une femme qui avait le pouvoir de créer l’ennemi mortel de Chimère. Cet ennemi est un être pure, qui se nomme Phœnix. Il a le pouvoir d’amener la vie comme la mort, apporter l’équilibre que le monde n’a jamais connu. Tandis que Chimère ne fait qu’ apporter la mort.
Phyläé ne voyait pas du tout en quoi cela pouvait bien la concerner, jamais elle n’avait entendu parler de cet être maléfique, ni de Phœnix. Ce nom, pourtant inconnu, lui semblait familier, comme si elle avait toujours entendu ce nom. Un nom qui lui évoquait l’amour de vivre et une paix intérieure qu’elle n’avait pas connu depuis l’assassinat de ses parents.
- Désolé mais je ne comprends pas où tu veux en venir, déclara-t-elle un peu déroutée.
- Justement j’y viens. La femme qu’il a vu dans sa vision, avait une marque sur le coup. Une sorte de tache de naissance. Elle était brune, les yeux marrons et d’une très grande beauté. Deux ans après cette vision, il a rencontré une femme avec une petite fille. Cette petite fille, c’était toi . Tu n’avais que quatre ans à l’époque, mais quand il a vu la marque à ton cou, il a tout de suite compris que c’était toi la femme de sa vision. Il a donc tout fait pour te retrouver et te tuer. Malheureusement pour lui, ce qu’il ne savait pas, c’est qu’il ne pouvait pas te tuer car bien qu’étant une petite fille, tu étais déjà plus puissante que lui. Et ça, il l’a découvert quand il a envoyé des mercenaires pour assassiner tes parents. Des mercenaires que tu as terrassé, par ta seule force mentale.
Phyläé ne se souvenait plus de cela, elle fut stupéfaite de l’apprendre. Maintenant, elle comprenait pourquoi on avait retrouvé tous ces corps autour de ses parents. Le choc l’avait tellement bouleversé qu’elle en avait oublié ce moment précis de sa vie. Celui où, après avoir vu ses parents morts, elle avait donné forme à une terrible explosion qui décima tous ces bandits . Maintenant qu’elle entendait sa propre histoire, les lambeaux de mémoires qu’elle croyait avoir perdu lui revenait soudain en tête. Elle se rappelait aussi, la vue des corps mutilés de ses parents, ce qui la tourmenta. Elle préféra ne plus penser à ça et de revenir au récit que lui faisait Tyrion.
- Donc, après cette histoire, tu as été recueillit par le conseiller de Pharaon. Pendant toutes ses années, tu as vécu sans le savoir, en sécurité. Atess, pendant tout ce temps, a élaboré un plan pour te nuire et c’est à peu près à partir de là que je fais mon apparition.
Toutes ces découvertes chamboulèrent l’esprit de Phyläé. Apprendre des choses sur soi, qu’ on a ignoré pendant pratiquement toute la première moitié de son existence, ça fait un choc, vous pouvez me croire.
- Admettons que je sois réellement la femme de sa vision, je ne sais même pas comment créer ou comment faire apparaître cette créature.
- Il n’y as pas de doute à avoir. Il a découvert que tu descendais directement des créateurs de Phœnix. Et que seul l’amour, la perte d’un amour pourraient te perdre ou au contraire te donner la force de créer cette créature. C’est pour cela qu’il m’a donné l’ordre de tout faire pour te rencontrer pour étudier tes faits et gestes. Mais ce qu’il ne sait pas c’est que je suis tomber amoureux de toi et que j’ai découvert, sur de précieux papyrus, comment invoquer Phœnix.
Phyläé fut surprise par cette révélation, jamais elle n’avait imaginer être une descendante des dieux, qui ont donné naissance à ces créatures mythiques. Enfin, elle allait avoir la possibilité d’éradiquer l’homme qui avait tuer ses parents et le monstre qui a anéanti des dizaines de milliers de gens, par amusement, partout dans le monde. Elle était si heureuse qu’il lui fallut quelques minutes pour reprendre ses esprits. Soudainement elle fut pris de doutes et d’une méfiance si intense à l’égard de Tyrion, qu’elle voulut en savoir plus. Il lui avait déjà menti. Pourquoi ne recommencerai-t-il pas , en ce moment même? Tyrion remarqua le subite changement d’expression sur le visage de Phyläé, un visage plein de scepticisme.
- Dans un local s’entassent des milliers de manuscrits retraçant toute l’histoire de chimère, et sa véritable nature. Bien entendu, il n’y a que des copies des véritables documents qu’Atess possède. Je peut te les montrer si tu le désire. Mais pour cela je te demanderais de me faire confiance.
Tyrion emmena Phyläé dans une sorte de mastaba assez éloigner du temple de la pyramide de Khephren. Là il la fit entrer dans une vaste antichambre ou s’entassait des piles et des piles de manuscrits, certains avait l’air très anciens. D’autre encore plus abîmés, semblaient dater d’une époque si vieille qu’il aurait était impossible de les dater. Phyläé suivait de près Tyrion, avec une impression bizarre qui la rendait nerveuse.

Finalement ils arrivèrent dans une pièce, légèrement plus petite que l’antichambre, visité précédemment. Le plafond était un dôme en forme de pyramide. Imaginez une pyramide entièrement creuse, et maintenant pensez à quoi cela ressemble de l’intérieur et vous obtiendrez ce dôme si magnifique. Le dôme était tapissé d’or, ce qui rendait la pièce très lumineuse et chaleureuse. L’éclairage de la salle était si intense que l’on ne pouvait que pensait que ce lieu renfermait un secret. C’était doux, effrayant et rassurant, comme lorsque l’on se trouve au coin du feu. On se plait à y être tout près et en même temps on est effrayé par les flammes. Et bien c’est exactement la sensation que Phyläé eu a ce moment là, jamais elle avait été aussi rassuré et aussi apeuré à ce point. Au centre de la salle, juste au dessous du point le plus élevé du dôme, se trouvait un piédestal. Il était, lui aussi, recouvert d’or mais à la différence près, que l’on y distinguait des hiéroglyphes, d’une infime précision. Phyläé se sentait à l’aise dans cette pièce, même si elle était pleine de mystère, elle l’aimait bien.
- nous voici arrivé, déclaras Tyrion jute après s’être installer devant le piédestal, c’est ici que je cache tout les documents dont tu as besoin pour faire vivre ce mythe, que nous nommons Phœnix.
Il avait dit cela avec une once de bonheur dans les yeux, et ça n’avait pas échapper à Phyläé, qui ,d’un coup, se sentit rassuré. Elle décida de s’en remettre à cet inconnu, que son bien aimé était devenus. Tyrion ne ressemblait-il pas à ces enfants, qui malgré leurs bêtises savent se faire pardonner, par leur amour ou leurs pitreries qui vous font rires, tellement se sont des choses innocentes et pleine d’humour? Tel était l’état d’esprit de Phyläé, envers Tyrion, à ce moment précis. Pourquoi n’aurais t-il pas droit à une seconde chance, lui aussi ? Pourquoi ne pas lui pardonner, comme on pardonne à ces enfants qui font la pire des bêtises mais qu’on cajole malgré cela ? Phyläé revint brusquement à la réalité et entendit Tyrion s’exclamer :
- Enfin la paix régneras dans le monde grâce à toi et à ce que tu vas faire. Ce ne seras plus un rêve, celui tant désirait de tous, mais bien la réalité.
Il avait dit cela avec tellement d’ardeur et d’assurance, que Phyläé s’en sentit ragaillardi. Elle s’avançât près du piédestal et y remarqua un parchemin déroulé et maintenu par deux chandelier. Phyläé fut stupéfaite de voir ce document, non seulement il expliquais ce qu’il y avait à faire, mais il révélais pourquoi elle seule était capable de faire cela.
- Qu’est-ce donc que ce document ?
Elle pensait connaître la réponse mais espérais avoir plus détails sur Phœnix.
- Ce sont les incantations qui te permettrons d’appeler Phœnix
Phyläé se mit à lire, à haute voix, le précieux document.
- Seul une personne au cœur pur et qui a comme désire, au plus profond de son être, l’envie d’apporter le bien dans le monde, pourras ramener l’être ultime des profondeurs des ténèbres.
- Te sent tu capable de le faire pour nous deux et pour tout ces gens qui vivent dans le monde, Phyläé ?
Il avait demandait cela avec une pointe d’inquiétude, qu’elle n’avait jamais décelé chez lui depuis qu’elle le connaissait. Elle lui répondit avec un sourire radieux, pour le rassurer :
- Aujourd’hui plus que jamais, je suis prête à relever ce défit. Qu’importe ce qu’il adviendras de nous, je souhaite que toutes les personnes qui vivent dans ce monde, soient heureuses et qu’elles n’aient plus à subir d’horreurs comme nous en avons vécut.
Tyrion se détendit il avait craint qu’elle lui réponde non, à cause de ce qui lui avait fait. Mais Phyläé n’étais pas du genre à en vouloir, à quelqu’un, pour une petite histoire de trahison. Elle en voulais au gens qui tuaient et faisaient souffrir et apparemment Tyrion n’était pas de ceux-la. Et puis, Tyrion ne venait-il pas de prouver qu’il ne l’avait pas tant trahi que ça? Elle se mit à lire, dans sa tête, la formule magique qui était inscrite dans l’ancien égyptien, puis elle recommença à voix haute:
- Viens à moi être de lumière, toi qui n’as qu’une envie, amener la vie sur terre. Viens à mon aide car je suis seule contre tous et je ne peut vaincre ton ennemie mortel sans ton aide, Viens phœnix être de feu et de vie, viens c’est une des descendante de tes créateurs qui te l’ordonne.

pendant qu’elle récitait ces paroles, un rayon aveuglant était apparut traversant la pointe du dôme et entourant le piédestal puis elle s’était élevé du sol.Une sorte de tempête, venant d’on ne sait où, se forma dans la salle. Tyrion fut surpris par ce prodige qu’il admira. Soudain un bruit, assourdissant, venant de l’antichambre aux manuscrits, se fit entendre. Puis apparut l’être le plus détesté de Phyläé, le maître de Tyrion. C’était Atess, lui même, accompagné d’une créature à l’aspect mi-homme mi-monstre, que Tyrion ne connaissait que trop bien. Cela ne lui présageait rien de bon. Quand il réalisât cela, il se retourna vers Phyläé. Celle-ci se trouvais toujours dans les airs, mais désormais des flammes lui léchaient le corps. Atess souriait et avait un regard mauvais, il constata que son ennemie avait déjà commencé l’invocation.
- Ainsi tu as choisit ton camp, tu est parti avec cette traîtresse, tu subiras le même sort qu’elle. Le sort que mon ami, le plus fidèle qui soit lui réserve, n’est-ce pas chimère ?
- Oui maître, dit, d’un ton morne et inhumain, la créature
- Ainsi donc te voilà Atess mais tu arrive trop tard. Ma bien aimé a déjà commencé sa tache, celle de ramener des morts l’être ultime. Brusquement, un grand silence se fit dans la salle. Phyläé venait de terminer son invocation et tout était redevenue normale. A cela prêt, elle n’était plus la Phyläé que Tyrion avait connu. Elle avait changé, une incroyable aura de puissance se dégageait de son être et une lumière intense, qui venait de son corps, illuminait la pièce, déjà très éclairé. Ses cheveux étaient plus clairs qu’autrefois, presque blond. Le vent, les faisaient claquer déci delà. On pouvait sentir une forte chaleur s’y dégager. Elle avait un regard que jamais elle n’avait eu auparavant. Ses yeux étaient si étincelants qu’on avaient l’impression de voir des flammes s’y refléter. Son regard était remplit d’un pouvoir absolus, de vie et d’amour . Il contrastais, parfaitement, avec celui de Chimère qui reflétais la haine, la mort et les ténèbres. Comme ils le constatèrent tous, elle n’avait pas appelé Phœnix, elle était devenue Phœnix.
- Toi, ici, comment ose-tu te présenter de la sorte devant moi, déclara Phyläé remplie de rage et de haine à la vue du meurtrier de ses parents.
- Mon ami et moi sommes là pour te tuer, mais avant cela il va nous falloir tuer, Tyrion, ce traître. Sait-tu que cela fait maintenant cinq ans, que cet homme est sous mes ordres et qu’il espionne pour moi, tes moindres faits et gestes.
Atess avait dit cela en pensant apprendre, à Phyläé, la trahison de Tyrion. Voir Phyläé et son pire ennemi se parler comme ça, effrayais Tyrion à un tel point qu’il met impossible de vous décrire cela.
- Oui, je sais tout cela, il me l’as avoué pour sauver notre amour.
Atess parus désarçonné par cette réponse, apparemment il ne s’attendait pas à ça, et tout d’un coup, il se mit à crier
- Maintenant !!!!
Ensemble Atess et Chimère unirent leurs forces et envoyèrent une onde de choc noire sur Phyläé. Elle n’eut pas d’effet immédiat sur celle-ci, qui parât avec facilité le coup. Mais, en revanche, cela tuas Tyrion qui fut réduit à l’état de cendres.
- Non, qu’ais-je fais ?
Phyläé jeta un regard sur ce qui restais de Tyrion, est ce mit à pleurer. Désormais, elle ressentait tant de haine envers Atess qu’elle se fit la promesse de le tuer.
Elle se tenait prête à attaquer ses deux ennemis quand elle s’aperçut que l’onde de choc lui avait fait perdre beaucoup de force. Cependant, elle réussit à trouver, suffisamment de ressources, pour former un champ de feu qui désintégra complètement Atess. Chimère profita de ce moment pour reformer une onde de choc. Sentant venir le danger Phyläé essaya de parer le coup, mais elle fut touché de plein fouet. Elle invoqua pour la dernière fois l’esprit du Phœnix en lui demandant de quitter son corps. Soudain, elle se senti vidé de tout pouvoirs et la souffrance se fit plus rude. La dernière chose qu’elle distingua fut une sorte d’entité très faible se matérialiser derrière Chimère. Celui-ci tuas Phyläé avec une autre de ses onde de choc. Depuis ce jour, l’âme du phœnix erre sans repos. Jamais on ne reparla de ces trois personnes, ni de Chimère. L’histoire sembla oublier ces personnes et oublier qu’un temple s’était autrefois tenus près de la pyramide de Khephren. Maintenant, il est temps de laisser place à la vrai histoire du phœnix. Celle qui n’est pas encore écrite mais qui ne vas pas tarder à l’être. Celle que personne ne connaît. Celle que l’on découvriras tous ensemble dans la suite de l’histoire. Edité par le phoenix le 08/12/2006 à 16:45
Edité par le phoenix le 08/12/2006 à 16:47

Waaa !! j'adooooooooree le début de ton hisoire Benounou!! Maintenant j'ai hate de lire la suite! allé hop, a ton crayon

merci, vio, la suite tu ne seras pas decu mais sa risque de prendre du temps lol