Connexion | Inscription | Aide
Page : 1 | 2 | 3 | Dernier message »
|
Bonjour et bienvenue à toutes et tous à l'antre des poètes. L'idée d'un topic pour les poèmes n'avait qu'été effleurée faiblement il n'y a pas longtemps dans "délires à la chaîne!!!". Fortement réalisable, j'en ais donc conclus et décidé de le créer sous le nom de "Antre des Poètes".
Ici, rien de beau, rien de laid, seulement des âmes désireuses de s'exprimer sur ce qui poignarde leurs émotions de pleine force. Des poèmes de joie, de peur, de surprise, de tristesse, d'indifférence, d'amour, de douleur, de jubilation, de violence et plein d'autres encore vont être racontés et dévoilés sous différents angles et divergentes façons d'écrire. Rimes ou non, alexandrins ou octosyllabes, long ou court, peu importe tant que cela reste lisible (cela va de soit). Ce qui veut dire, pas de SMS bien sûr. Aussi, tout le monde est accepté ici pour s'ouvrir au monde telle une armoire qu'on aurait trop longtemps laissé-pour-compte. Aucune mauvaise critique contre le ou la poète ne sera bien vu, je vous l'annonce tout de suite. Alors donc, pour briser la glace, je me jette dans cette eau gelée et vous donne ce premier poème que j'ai écrit il y a longtemps quand je me suis rendu compte ce que c'était d'avoir un coeur broyer. Le titre est : La chandelle Pour toi, ce que je vois, c'est l'avenir Pour moi, une solitude Je rallume cette chandelle qui enflammait tes rires Tes rires qui nous rappelaient notre similitude Cette espérance que je possédais N'était qu'une illusion Et même quand mon coeur s'y mettait au complet J'apprenais que Cupidon était sous la dérision Et c'est quand il est arrivé Avec son flambeau qui damait ma bougie Qu'il t'a incontestablement illuminé C'est à ce moment que j'ai tout compris Je voulais m'élever, monter sur les toits Quitter ce monde en faisant semblant de voler Mais le vent me poussa dans l'autre sens alors j'eu cet émoi Cette émotion qui venait me réconforter Maintenant, je te souhaite le plus grand bonheur Car je n'espère plus t'atteindre Peut-être pourras-tu voir cette grande erreur Car ma chandelle vient de s'éteindre Edité par Hendos le 27/11/2006 à 00:27 Venant d'au-delà des océans, protégeant ses bonnes gens, le roi Judicael dit le "navigateur", traverse, à la tête de son royaume flottant les sept mers et la lagune des géants. |
|
L'âme du poète juju !
Poème sur l'Amitié Quand tu m'as rencontrée, J'étais triste et esseulée, Quand tu m'as rencontrée, J'étais seule et désolée. Quand je t'ai rencontré, Tu semblais joyeux, Quand je t'ai rencontré, Tu m'as paru heureux. Quand on s'est rencontrés, Pour moi tout a changé, Quand on s'est rencontrés, J'ai découvert l'amitié. Quand je t'ai rencontré, Le soleil m'est apparu, Quand tu m'as rencontrée, L'environnement a disparu. Quand on s'est séparés, D'un seul coup, il a plu, Quand on s'est retrouvé, Le soleil est revenu. Elodie GUERIM |
|
Très jolie ce poème. Mais simple question, pourquoi le nom à la fin au juste? (Parce que j'ai vu que ça ne rimait pas avec le dernier vers alors je me suis dis que c'était à part)"
Edité par Hendos le 27/11/2006 à 23:26 Venant d'au-delà des océans, protégeant ses bonnes gens, le roi Judicael dit le "navigateur", traverse, à la tête de son royaume flottant les sept mers et la lagune des géants. |
|
Elodie Guerim, c'est le nom de l'auteur qui a écris ce poème.
Edité par vintiguer le 28/11/2006 à 20:30 |
|
alors je vais aller chercher sur Google
Venant d'au-delà des océans, protégeant ses bonnes gens, le roi Judicael dit le "navigateur", traverse, à la tête de son royaume flottant les sept mers et la lagune des géants. |
|
C'est un poeme qui parle d'amour
Le nom du poeme c'est toi Chaque soir je ne dors pas car je pense à toi Quand j'arrive à m'endormir c'est un rêve agréable Car je rêve de toi Quand je pense a quelque chose Je pense a toi Quand je vois un image je vois ton visage La seul chose à laquelle je pense c'est a toi: je t'aime Edouard® Edité par franim le 03/12/2006 à 10:44 |
|
Quel merveilleux poème qu'est celui-ci. Je l'adore.
Venant d'au-delà des océans, protégeant ses bonnes gens, le roi Judicael dit le "navigateur", traverse, à la tête de son royaume flottant les sept mers et la lagune des géants. |
|
Moi j'aime les trois comme sa pas de jaloux!^^
Et juju, tu écris tout aussi bien les livres que les poè-mes a se que je vois! |
|
vraiment ces poemes meritent tous d'etre publiés car ils sont vraiment super géniaux
to see the world in the grain of sand and heaven in the wild flower, hold infinty in the palm of your hand and éternity in an hour! Le mal n'est rien sans la redomption du bien. En moi tout n'est qu'equilibre, je suis le bien et le mal, la vie et la mort. Benoupioupiou est le phoenix, membre de la coalition des quatres :-D :-D :-D it's not who i am underneath, but what i do, that defines me... |
|
L'histoire vient de la tête tandis que les poèmes, généralement, trouvent leur source dans le coeur. Quand celui-ci est remplit d'émotions, on peut les étendre sur du papier ou sur tout ce qui peut accueillir les lettres et même, les dessins. Pour mon cas, je dois avouer que je me débrouille bien par écrit (sans vouloir me vanter bien sûr)
Et en voici un de plus. Je dirais qu'il est étrange car il vient plus de la tête que du coeur mais bon, la n'est pas la question. Ce n'est pas le meilleur, mais j'aime l'histoire (car c'est plus une histoire) : Un jeu dangereux Aujourd’hui, pendant que j’arrosais mon estomac d’eau-de-vie Un homme entra et me vit Il avança entre les tables qui l’encerclaient de bord en bord Et vint s’asseoir à mes côtés, sur un tabouret depuis longtemps mort « Savez-vous qui je suis? » me demanda-t-il Je répondis « Quelqu’un que je n’ai jamais vu en ville » Ne faisant pas attention à ma réponse, il se commanda un verre d’eau Et sur le comptoir, y déposa son manteau et son chapeau Il prit une bonne gorgée et me dévisagea « Je ne vous connais pas et vous ne me connaissez pas C’est pourquoi je peux me permettre de vous proposer un jeu dangereux Qui nous occupera tout les deux » Prenant une autre gorgée d’alcool, je pensais à penser à ça Un jeu ! Là? Il devait bien se tromper Je n’étais pas fait pour jouer « Le jeu peut être facile comme il peut être ardu Premièrement, vous commencerez nu Petit, fragile, innocent Vous n’aurez même pas un an » Je mouillai ma gorge de nouveau Et commençai à ressentir ces douloureux maux de dos Qui me faisaient tant souffrir Ils me mettaient sous leur mire « Dès le départ, vous pouvez avoir de la chance Ou, au contraire, être d’une mauvaise semence Vous pouvez même être entouré de gens qui vous voudraient Ou, au contraire, de gens qui vous repousseraient » Des gens qui ne voudraient pas de moi! C’est bien la chose la plus ridicule que j’ai entendu depuis des mois Je donna à ma bouche un autre gorgé Mon gosier se mettait à m’apprécier « Vous aurez un père et une mère Peut-être même une sœur et un frère Ou peut-être qu’il vous manquera le père, le frère ou la sœur Peu importe, vous verrez cela tout à l’heure » Quel était ce fou que j’avais assis à mes côtés? Il était arrivé tout bonnement et s’était mit à me parler Comme si nous étions des hommes d’affaires Discutant de grands projets risqués autour de verres « Vous apprendrez à marcher, à parler et à manger sans vous salir Vous ferez tout cela en persistant sans penser au pire Ou peut-être allez-vous toujours tomber et abandonner à tout bout de champ Seul l’avenir peut nous le dire clairement » Pourquoi voudrais-je abandonner? L’explication de son jeu commençait à me saouler Ou peut-être c’était ce que je buvais? Seul un autre verre me l’avouerait! « Peu à peu, vous allez vieillir dans le bonheur et l’allégresse Vous allez découvrir certaines vertus de la vieillesse Ou peut-être allez-vous évoluer parmi la violence et l’insécurité À votre propre sort vous pouvez être abandonné » Mon sort ne pouvait pas être pire qu’en ce moment! Je regardais le comptoir noir fixement Pensant, repensant et repassant tout ce qu’il me disait Du coin de l’œil gauche, je le voyais, il me fixait « Vous irez peut-être à l’école ou peut-être pas Si oui, vous allez peut-être être aidé ou vous serez peut-être seul à faire vos premiers pas Sinon, vous avancerez sans éducation Et plusieurs portes se fermeront » « Plus tard, vous allez découvrir l’amour, le plus beau des cadeaux La personne de votre cœur pourrait être belle ou beau Cela sera choisit dès le départ » Voyant l’expression de mes yeux, il ajouta « Je ne crois pas qu’il y ait de traquenard! » Finalement, son jeu devenait intéressant! Après tout, j’étais bien ici de puis cent ans Mon cœur était recouvert et humecté d’alcool Je n’étais même plus ce que l’on pouvait appelé un guignol « Vous rentrerez dans l’adolescence Je vous avertis, ça n’a plus rien à voir avec l’enfance C’est confus et mélangeant Mais d’un autre côté, ce peut être la plus belle époque de votre temps » « Par la suite, vous vieillirez et puis vous commencerez à mûrir Vous allez être obligé de faire des choix cruciaux qui pourraient vous affaiblir Ou, au contraire, peut-être allez-vous devenir quelqu’un d’important Quelqu’un qui évolue à chaque instant » « Vous aurez peut-être votre chance d’avoir des bambins Des créatures qui vont avoir vos yeux, votre peau, vos mains Vous devrez les chérir, vous et votre conjointe Qui sait, vous allez peut-être la retrouver enceinte! » « Parfois, vous allez être couvert par des tempêtes interminables Vos pieds seront collés au sol, vous aurez l’air d’un minable Mais le soleil arrivera avec ses rayons d’une clarté époustouflante Et vous trouverez que rien ne devrait causer de telles épouvantes » « Maintenant, je ne veux rien dire de plus J’arrête ici avec mon laïus Je préfère que vous exploriez le reste Sans oublier un seul zeste » Je finis mon verre Et le regarda, à mon tour, de travers « Mais quel est ce jeu dont vous me parler depuis que vous êtes arrivé? » Il me montra deux grands billets à l’allure plutôt bien finalisée « Ces bouts de papier sont notre passeport pour l’autre côté de ce monde des morts » « Pourquoi devrais-je m’engager dans un tel transport? » « Ce jeux est dangereux et risqué Mais il en vaut la peine pour toutes les belles choses auxquelles vous pouvez imaginer » Il me regardait avec ses yeux bleus J’étais tellement saoul que j’étais sûr d’en voir plus que deux « Comment se nomme ce jeu » lui demandais-je, un peu ivre « C’est d’une grande popularité de nos jours. Ça s’appel : Vivre » Edité par Hendos le 02/12/2006 à 22:22 Venant d'au-delà des océans, protégeant ses bonnes gens, le roi Judicael dit le "navigateur", traverse, à la tête de son royaume flottant les sept mers et la lagune des géants. |
|
c'est... trés long ! ^^
moi aujourd'hui je vous propose une citation d'un film : x-men 2. L'éternel est mon berger, Je ne manquerais de rien. Je me verrais poser dans de verts paturages. En vérité, quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi. Edité par vintiguer le 03/12/2006 à 10:15 |
|
et ba juju c'est vrai ke c'est long mais c'est bien didonc!!^^
savoir profiter de chaque moments comme si c'était le dernier, car chaque moment est unique et eternnel. |
|
Je l'ai dit, peu importe si c,est long ou court, il faut juste ue ça soit lisible.
Venant d'au-delà des océans, protégeant ses bonnes gens, le roi Judicael dit le "navigateur", traverse, à la tête de son royaume flottant les sept mers et la lagune des géants. |
|
slt le titre est : mon amour
Tout a commencé quan nos regards se sont croisés Tu a renverser mon coeur , tu l'as fait chavirer Un vent d'amour m'a fait perdre la tète Notre amour grandit de jour en jour Je te laisse entrer et ferme mon coeur a double tour Tout devient beau et merveilleux Quand je vais me noyer au large de tes yeux Dans tes bras je pars m'envoler Dans un monde doux et sucré La flamme de mes yuex se sont allumées Le soir ou nos lèvres se sont touchées Aujour'dui le destin nous appartient A nous seul de prendre le meme chemin Tellement de choses a dire mais désarmé devant toi Sache que je t'aime |
|
moi je dois en avoir deux :
Seul face au monde, seul devant soi, D'autant plus seul que je n'y sois pas... Que reste-il alors ? Ne reste que la pure présence silencieuse du réel, Cet arbre qui ondule au vent, Cette eau qui s'écoule, Ce Soleil qui échauffe mon visage, Ne reste que l'éternité, présent perpétuel de l'impermanence, La vérité, l'éternité, la présence, le silence, le réel... cette table, Y trouver quelque bonheur ? pourquoi pas... Allez jusqu'au bout de soi, effacement de soi devant le vrai, Oh quel silence ! quelle paix ! quelle plénitude ! quelle béatitude ! Aurais-je besoin d'un autre monde ? d'une autre vie ? D'ailleurs, que reste-il de moi sinon un souvenir ? http://kaldu13.skyblog.com iii ca c du blog |
|
Wow!!! Ce sont vraiment des poèmes qui valent la peine d'être lu. Sérieusement, c'est bon continuez comme ça. Mais, j'en ais encore un autre mdr. Suis-je une plume à moi-même?
Alors le voici. Je l'ai écrit pour une fille (comme de fait lol). Mais je ne lui ais jamais envoyé ou donné. Je me rappel que quand je l'avais vu pour la première fois, c'était comme un rêve. Mais malheureusement, c'est toujours quand nous sommes rendus au meilleur moment de notre rêve qu'on se réveil brusquement. La voie du coeur: Quand vas-tu arrêter Je ne peux cesser de me rappeler Ton visage plus radieux que le soleil Qui vient toujours troubler mon sommeil Je ne t’ai vu que quelques fois Et je vis comme s’il n’y avait que toi Cette souffrance du cœur Est tout ce que j’ais qui me cause ces pleurs Vaincu, battu et meurtri Par cet espoir de fantaisie Je marche sans trop savoir où aller Cherchant un autre but à assimiler Sur cette voie éternelle Je vois ces ombres sentinelles Passant furtivement M’empêchant de penser à toi délibérément Sur ce cœur de poussière grise Il y a quelque chose que l’on mise Peut-être un espoir de te voir Ou peut-être espoir noir Je sens encore ces flammes me léchant la tentation Cette fumée qui me coupe l’inspiration C’est comme une maison sous le feu Où est-ce que je fais mon dernier vœu C’est quand je vois entre les nuages sombres Quand la glace du désespoir et de la tristesse commence à fondre Que je vois ton visage des merveilles Plus radieux que le soleil Edité par Hendos le 07/12/2006 à 01:09 Venant d'au-delà des océans, protégeant ses bonnes gens, le roi Judicael dit le "navigateur", traverse, à la tête de son royaume flottant les sept mers et la lagune des géants. |
|
wow jaodre celui ci
|
|
oue il est trop bien ton poéme julien ! et kal, kan tu met un poéme qui n'est aps de toi, le mieux c'est de mettre le nom de l'auteur a la fin !
|
|
mais je n'ai jamais dit que c'étais le mien !!! j'ai juste dit que j'en avais deux !
http://kaldu13.skyblog.com iii ca c du blog |
|
justement kal^^ oui c'est pas les tiens mais sa aurais été bien de mettre le nom de l'auteur! Pour Juju, j'adooore ton poème ! il est trop beau! moi aussi je veux bien quelqun qui écrive un poème pour moi hein je rigoleuh
Je vais juste mettre des citatiosn que j'aime beaucoup (on peux les citations?^^) "Soyez vous meme le changement que vous voudriez voir dans le monde" "vivre simplement, pour que simplement d'autre puissent vivre" de Mahatma Gandhi sinon celle ci aussi j'aime beaucoup: "Le poisson ne voit pas l'ameçon, Il ne voit que l'appat. L'homme ne voit pas le péril, Il ne voit que le profit" |
Page : 1 | 2 | 3 | Dernier message »