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Alors voila je suis une grande fana des histoires de fantome, celles qui vous font dresser les cheveux sur la tete lorsque vous les lisez, qui vous font reflechir sur le pourquoi du comment...
Enfin bref j'ai en ma possession tout en stock de ces histoires a la fois attrayante et terrifiante...
Pour le moment je vous en met deux, puis si je vois que cela vous interesse, je continurai...
Vous pouvez bien ententu mettre vos propres histoires !!!
Alors on est parti pour le pays du surnaturel ?!!

Les animaux de compagnie :
Les gens considèrent souvent leurs animaux familiers comme des membres de la famille à part entière ; par conséquent, il semblerait logique que beaucoup de gens aient vu ou perçu d'une autre manière leurs petits compagnons défunts. Toutefois, les témoignages portant sur de tels cas sont loin d'être aussi répandus que ceux qui se rapportent à des esprits humains. Il se peut que ceci soit dû au fait que les chercheurs en métapsychique ne sont pas beaucoup intéressés aux fantômes d'animaux.
Le chercheur en métapsychique et écrivain Raymond Bayless effectua une tentative particulière pour réunir de tels récits dans son livre Les Animaux fantômes. Il constata bientôt qu'il n'y avait pas pénurie en la matière.
Un cas typique fut rapporté par Mrs. Joy Baterski. Elle raconte que Red, le setter irlandais de la famille, était mort le 27 août 1965. L'animal avait été le compagnon de la famille pendant quatorze ans et était cruellement regretté. Red avait été enterré dans le jardin.
La nuit qui suivit la mort et l'inhumation de Red, Mrs. Baterski fut réveillée par, elle en était sûre, les aboiements de Red. Le setter irlandais avait une façon d'aboyer inhabituelle et caractéristique. Mrs. Baterski la décrivait comme « ressemblant à celle d'un phoque ». Il était impossible, insista t-elle, de la confondre avec celle de n'importe quel autre chien. Son mari fut lui aussi réveillé par le bruit. Ces mystérieux aboiements se poursuivirent avec plus ou moins de régularité pendant plusieurs semaines, jusqu'à ce que les Baterski acquièrent un nouveau chien, un chiot berger allemand. « A compter de ce jour, dit-elle, on n'entendit plus les mystérieux aboiements. »
L'expérience fut éprouvante, particulièrement pour Mrs. Baterski. Dans une lettre adressée à Bayless, elle écrivit : « La dernière fois que (l'on entendit les aboiements), environ une semaine plus tard, je pleurais en dormant, et mon mari me réveilla. Alors seulement j'entendis les aboiements. Ils s'éloignaient. A ce moment-là, j'étais tellement bouleversée que j'allai jusqu'à insister pour que mon mari déterre le chien pour s'assurer qu'il était bien mort. Mon mari me garantit qu'il était. « Qui peut dire si le phénomène aurait continué ou non si nous n'avions pas introduit un autre chien dans la maison? « Je dirais que sur une période d'environ quatre semaines nous fûmes réveillés au moins cinq fois et au moins une fois par semaine par les aboiements de Red. Mais la dernière fois je fus la seule à les entendre.» Bayless obtint de Mr. Lawrence Baterski confirmation de ce que sa femme avait dit. Un voisin des Baterski écrivit lui aussi à Bayless. «Red avait la plus entraordianire façon d'aboyer que j'eus jamais connue, et aucune confusion avec d'autres aboiements n'était possible. Après avoir entendu le chien pendant plus de treize ans, ils (Les Baterski) pouvaient assurément le reconnaître. »
AI H. Morrison, de New York, fournit à Bayless un récit très comparable. Un dimanche après-midi de juin 1966, tard, le chien qu'il avait eu pendant quatorze ans était mort. La lettre de Morrison continue :
« Fin août de la même année, au même moment de la journée -- autour de deux heures de l'après-midi --, j'étais assis en compagniee d'une cliente lorsque retentirent les forts et joyeux aboiements de mon chien. On ne vit pas quatorze ans avec un chien sans être capable de reconnaître sa voix.»
« J'aurais pu considérer cela comme un voeu pieux et n'y plus penser, mais ma cliente entendit la même chose au même moment. C'était si bruyant que cela l'effraya, er elle demanda : "Où est le chien ?" Je réfléchis et parvins à la conclusion qu'elle ne goberait jamais une telle histoire, aussi me contentai-je de dire : "Oh, il est quelque part par-là" et je continuai de travailler. »
Morrison déclara qu'il doutait que l'incident se reproduise. « J'ai l'impression qu'il lui avait fallu fournir un effort et une énergie considérable pour revenir, et qu'il ne retrouverait jamais une telle énergie.»
Un autre cas cité par Bayless vient d'Australie. Il fut rapporté par William A. Courtney. En 1953, Courtney habitait la petite ville de Sarina, dans le Nord de l'Australie. Il possédait une chienne levrette de grande valeur nommée Lady à laquelle il était très attaché. Mais la chienne contracta la maladie de Carré et dut être abattue.
« Ce soir-là, j'étais étendu sur mon lit et pensais à elle lorsque j'entendis soudain trottiner dans le couloir de l'entrée. (...) Les pas pénétrèrent dans ma chambre, puis j'entendis le bruit d'un corps lourd qui se laissait tomber à coté de mon lit.
« Je me levai d'un bond et allumai la lumière, m'attendant vraiment ; a trouver Lady allongée sur le plancher. Mais la pièce était vide, ou du moins je ne vis rien.»
Courtney ne parvint à trouver ni dans la maison ni dans le jardin quoi que ce fût qui sortît de l'ordinaire et eût pu expliquer les bruits. Puis il réalisa qu'il avait entendu ceux-ci à dix heures du soir, l'heure à laquelle Lady avait coutume d'entrer s'installer pour la nuit.
Bayless découvrit un témoignage relativement plus ancien dans le Bulletin de la société américaine de recherches métapsychique. Mrs. W.E. Dickson racontait que son chien, Butch, était mort vers midi le mardi 29 mars 1949.
Ce soir là, elle crut entendre Butch gémir et pleurer. D'abord, elle ne voulut pas parler de ce qu'elle entendait à son mari de peur qu'il ne la crût pas. Au matin, il dit : «Je ne sais pas si tu vas me croire, mais j'ai entendu Butch pleurer toute la nuit.» Ils décidèrent de n'en parler à personne d'autre, mais une de leurs voisines déclara qu'elle avait entendu Butch en rêve. Les étranges pleurs et gémissements se prolongèrent pendant environ trois mois.
Mrs. Dickson ajoutait : «Et une autre chose inhabituelle se produisit environ deux matins après sa mort -- je peux affirmer avoir vu une ombre sauter sur le lit où mon mari était allongé. Je ne saurais définir la chose mieux qu'en disant que c'était une ombre.»
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L'auto-stoppeuse :
Incontestablement, l'histoire de fantôme la plus populaire et la plus répandue aux États-Unis est la légende de l'auto-stoppeuse fantôme. On la raconte dans toutes les parties du pays avec d'innombrables variations. Pour l'essentiel, l'histoire est la suivante.

Un jeune homme rentre t`res tard chez lui en voiture, un samedi soir pluvieux. Il se retrouve sur une route déserte. Soudain, ses phares illuminent une silhouette en blanc qui se tient sur le bord de la route. Quand il se rapproche, il s'aperçoit qu'il s'agit d'une jeune fille d'environ seize ou dix-sept ans qui porte une robe de soirée blanche. Elle lui donne une adresse en ville ; il dit qu'il passe dans ce coin-là et qu'il va la conduire jusque chez elle. Elle le remercie et grimpe sur la banquette arrière du cabriolet. L'homme constate alors à quel point elle a l'air trempée et triste. Elle a été complètement frigorifiée par la pluie et elle frissonne, aussi lui propose-t-il sa veste. Elle accepte et le remercie.

Il redémarre et fait un bref sermon sur les dangers de l'auto-stop, surtout la nuit. La fille sur la banquette arrière ne répond pas. Le chauffeur a envie de lui demander ce qu'elle faisait sur une telle route déserte à ce moment de la nuit, mais il se dit qu'elle est épuisée et qu'elle a dû s'endormir, et il ne veut pas la déranger. «En plus, se dit-il, ça ne me regarde vraiment pas.»

Il faut environ une demi-heure pour arriver en ville. Durant ce laps de temps, la voiture ne s'arrête pas, et la fille ne dit rien. Le chauffeur ne peut même pas la voir dans son rétroviseur, et il suppose donc qu'elle s'est allongée sur la banquette arrière.

Il finit par arriver à l'adresse qu'elle lui a donné et arrête la voiture. La maison semble plutôt déserte, et il se retourne pour demander à la fille si c'est le bon endroit. Quand il regarde sur la banquette arrière, il découvre qu'elle est vide.

Il a conduit pendant une demi-heure sans s'arrêter une seule fois - il est absolument impossible de descendre de son cabriolet à son insu, et pourtant la fille a disparu. Déconcerté et maintenant quelque peu effrayé, l'homme sort de sa voiture et va vers la maison. Elle a l'air inhabitée mais, lorsqu'il frappe, une lumière s'allume et il entend un bruit de pieds chaussés de pantoufles s'approcher à pas traînants dans le hall. La porte est ouverte par une femme entre deux âges qui vient manifestement de sortir d'un profond sommeil. Elle a quelque chose qui lui semble familier, mais il n'arrive pas à déterminer ce que c'est.

Il s'excuse de l'avoir réveillée, mais dit qu'il vient de vivre quelque chose de si étrange qu'il se sent obligé d'en parler. A mesure qu'il raconte son histoire, il réalise combien celle-ci semble délirante. Mais la femme ne lui claque pas la porte au nez et ne se moque pas de lui, contrairement à son attente. Au contraire, elle l'écoute en silence avec une expression de sympathie sur le visage. Quand le récit est terminé, la femme dit calmement:

« Je vous attendais, car vous n'êtes pas le premier jeune homme qui vient me raconter cette histoire. La jeune fille que vous avez prise en stop est ma fille! Elle est morte; elle a été tuée dans un accident de voiture il y a dix ans, sur la route où vous l'avez trouvée. Elle revenait d'une fête un samedi soir où il pleuvait, exactement comme celui-ci, et la voiture dans laquelle elle se trouvait a dérapé. Depuis, les samedis soir, quand il pleut, les gens la trouvent en train de faire de l'auto-stop. Nous croyons qu'elle essaie de rentrer à la maison.»

L'homme est très surpris par ce qu'il entend. Il regagne sa voiture en se disant que tout ça n'est qu'une sorte de rêve ou d'hallucination. Il s'efforce de se convaincre qu'il n'a jamais pris d'auto-stoppeuse. Quand il remonte dans sa voiture, il trouve qu'il fait froid et tend la main pour attraper sa veste. Elle a disparu. Il l'a donnée à la fille en robe blanche. Le jeune homme sait alors qu'il s'est réellement passé quelque chose. Il retourne vers la maison et regarde le nom sur la porte. Le lendemain, il se rend au cimetière et trouve la concession familiale. Il repère la tombe de la jeune fille et constate qu'elle est effectivement morte dix ans plus tôt. Et là, sur la pierre tombale, soigneusement pliée, il y a sa veste! Ceci est l'histoire de base. On la raconte parfois dans une version abrégée, qui s'arrête simplement au moment où la femme dit: « C'est ma fille; elle est morte.» Dans d'autres versions, l'homme reconnaît la photo de la jeune fille accrochée au mur.

Comme presque toujours dans le folklore, l'histoire est généralement localisée, de sorte que, où qu'on la raconte, elle semble toujours s'être déroulée à quelques kilomètres seulement. Ces auto-stoppeuses fantômes deviennent parfois des célébrités locales. Un avatar de l'auto-stoppeuse à Chicago est connu sous le nom de Resurrection Mary, car la jeune fille est censée avoir été inhumée au Resurrection Cemetery.

Il y a eu d'autres variantes plus exotiques de la légende, certaines ayant des connotations religieuses. De temps en temps, on a signalé des chauffeurs ayant pris en stop un étranger barbu. Cet étranger profère quelques déclarations prophétiques sur la fin du monde puis disparaît. A d'autres moments, c'est une nonne auto-stoppeuse qui a fait des prophéties avant de disparaître.

Chez les Chicanos, on trouve la figure spectrale de la Llorna, la femme qui pleure. De sorte que, pour eux, l'auto-stoppeuse qui disparaît est parfois la Llorna. Nul ne semble savoir où cette légende particulière trouve ses origines, mais elle circule à travers la pays depuis au moins un siècle. Il existe aussi des histoires similaires dans d'autres pays, mais il est impossible de déterminer si elles sont ou non apparentées à la légende de l'auto-stoppeuse fantôme.

Alors vous en voulez d'autres ?

Ouais fait péter ce genre d'histoire ! J'adore ! Tien va lire ça aussi, c'est mon topic, sur une histoire pas fantôme, mais réèle : Clique ici

Oui je sais j'ai lu ton topic, c'est d'ailleurs ton topic qui m'a donné l'idée de faire celui ci !!

Ah okiiii !!! ^^

Quand j'ai lu ta deuxième "histoire", celle sur l'auto-stopeuse fantôme, ça ma fait penser à quelque chose que j'avais lu quelque par mais je m'en rappelle plus où.
C'est une histoire de fantôme aussi mais je ne sais plus de quelle pays elle vient.
C'est pareil que l'histoire de l'auto-stopeuse, sauf qu'une fois qu'elle est montée dans ta voiture, elle attend un moment, et d'un seul coup, elle se met à hurler (aparement, juste à l'endroit où elle est morte) et puis elle disparait...
Sinon oui remes-en j'adore ces histoires!

Ouais tu devrais en remettre d'autres elle est trop bien celle de l'auto-stoppeuse!

Oui je connais aussi ce genre d'histoire !! En faite elles sont plus liées aux histoires de la dame blanche !!! La dame blanche.

Il existe plusieurs versions de la dame blanche. Il faut tout de même savoir que la dame blanche est originaire de notre bonne vieille France, et que ses apparitions remontent très tôt dans le Moyen-Age. La version la plus connue c'est tout de même celle-ci qui a eu lieu il y a un peu plus de 30 ans...


Un jeune couple qui venait de se marier quitte la fête, et roule à toute allure vers l'hôtel pour y passer leur première nuit ensemble. La fête battait son plein, et le jeune homme au volant est plutôt joyeux... Mais dans un virage, leur voiture s'écrasa au fond d'un fossé. Le jeune marié n'y survivra pas, et sa femme a été portée disparue. Depuis ce tragique accident, on dit que tard le soir, on peut apercevoir une dame vêtue de blanc (d'où le nom, pour ceux qui n'avaient pas fait le rapprochement) aux abords d'un tournant, qui attend son mari. Il paraît que si vous la fixez, elle vous emportera avec elle et vous tuera, peut-être pour remplacer son amour perdu...


La dame brune :
Le fantôme que l'on dit arpenter les couloirs de l'imposant Raynham Hall, dans le Norfolk, en Angleterre, est à de nombreux égards semblable aux hordes de dames grisonnantes qui hantent beaucoup d'autres grandes demeures anglaises. Celle-ci porte une robe brune et est donc connue sous le nom de la Dame Brune, mais la grande différence réside dans le fait que ce fantôme particulier est censé avoir été photographié. Il existe aussi un portrait du fantôme accroché dans la résidence, mais personne ne semble connaître le sujet du portrait. Aucun décès particulier non plus que d'autres événements ne sont liés à l'apparition de ce fantôme. Raynham Hall est la propriété de la famille Townsand. La première apparition de la fantomatique silhouette fut signalée au cours de l'hiver 1835. L'un des hôtes venus pour Noël était un certain colonel Loftus. Il montait dans sa chambre, un soir, lorsqu'il aperçut une femme curieusement vêtue dans le couloir.
Il ajusta ses lunettes pour essayer de la voir mieux mais, quand il l'eut fait, elle disparut. Une semaine plus tard, le colonel Loftus eut un meilleur aperçu du personnage. En fait, il faillit la heurter dans le couloir. Il la décrivit comme une dame de noble apparence portant une robe de satin brune. Son visage baignait dans une lumière surnaturelle, mais ce qui était étrange et effrayant à son sujet était qu'elle n'avait pas de yeux-il n'y avait que des orbites vides là où les yeux auraient dû se trouver. De près, la Dame Brune n'offrait pas un spectacle agréable. Lorsque le colonel Loftus raconta cette histoire, certaines des personnes résidant dans la maison en rirent, mais d'autres racontèrent qu'elles avaient également vu l'étrange personnage, mais avaient omis de le raconter par crainte que l'on ne se moquât d'elles. Le colonel Loftus fit une esquisse de la femme qu'il avait vue, et un artiste réalisa une toile à partir de l'esquisse. La toile, intitulée La Dame en brun, fut accrochée dans une pièce où le fantôme avait été fréquemment signalée. Quelques années plus tard, le capitaine romancier Frederick Marryat résida à Raynham Hall. Il avait naturellement entendu parler du fantôme et demanda s'il pouvait coucher dans la , celle dans laquelle était accroché le portrait de la Dame Brune. Il passa un certain temps à examiner la silhouette malveillante du portrait. Plus tard ce soir-là, Marryat et deux de ses compagnons marchaient dans un couloir de l'étage quand ils aperçurent les traits d'une femme portant une lampe et qui marchait à leur rencontre. La lueur émanant de la lanterne réfléchissait la couleur brune de sa robe et , quand elle passa la porte, elle tourna son visage dépourvu de yeux dans leur direction et grimaça un sourire . Il se trouvait que le capitaine Marryat portait un pistolet à cette époque, il bondit de derrière la porte et tira à bout portant sur l'effrayante apparition. Si quelqu'un avait essayé de lui faire une blague, la personne en question aurait été abattue. Mais la balle traversa la silhouette, qui s'empressa de disparaître. On ne signala plus la Dame Brune jusqu'en 1926, où elle fut aperçue par deux jeunes garçons. Mais ce qui la classe le spectre de la Dame Brune dans lune catégorie à part se produisit le 19 septembre 1936. Deux photographes du magazine Country Life arrivèrent à Raynham Hall pour photographier l'intérieur de la maison. L'un des photographes, le capitaine Provand, venait de prendre une photo de l'escalier principal de la maison et s'apprêtait à en prendre une autre. Tandis que le capitaine Provand se penchait sur son appareil pour y introduire une plaque neuve, l'autre photographe, Mr. Indre Shira, se tenait à proximité et brandissait son appareil de flash. Soudain, il cria qu'il voyait une ombre de femme portant un voile sur les marches de l'escalier. Alors que la silhouette descendait lentement en direction des photographes, Shira dit à Provand de prendre immédiatement une autre photo. Provand, qui était toujours penché sur son appareil et ne vit pas l'apparition, prit la photo. Quand il leva les yeux, le personnage avait disparu. Toutefois, lorsque la photographie fut développée, elle montra une silhouette floue et fantomatique d'aspect dans l'escalier. Il est impossible de discerner les moindres traits ou quoi que ce fût d'autre qu'une silhouette générale. Plusieurs experts en photographie qui se rendirent dans les locaux de Country Life pour examiner les photographies originales déclarèrent qu'il ne semblait pas qu'elles aient été falsifiées. Mais falsifier une photographie est loin d'être impossible ou même difficile pour des photographes professionnels. La silhouette proprement dite est si floue qu'elle aurait aussi bien pu résulter de quelque tache sur l'appareil photographique ou sur le film. Malgré cela, celle-ci est toujours considérée comme l'une des meilleures et des plus troublantes photographies de fantômes. On n'a signalé aucune apparition de la Dame Brune depuis 1936.

MOi j'en aie une:
Donc l'histoire se passe dans une maison, elle était habité par un couple et leur enfant.
Les parents dirent à l'enfant qu'ils allaient au cinéma donc de s'enfermer à clef juste après qu'ils sortent et de ne pas ouvrir la porte aux inconnues. Les parents vaient confiance à leur enfant, raisonnable. Mais pour le rassurer le sparent lui dirent : "Si tu as peur, ton chien sera la pour te lécher ta main"
Les parents sont partit. Soudain un bruit provient dans la pièce d'à coté... l'enfant a pris peur tendit la main elle se fit lécher.. comme ça plusieurs fois. Un moment l'enfant voulut aller au toilettes, ouvrit la porte et vu son chien pendut juste au dessus des toilettes. De plus d'etre triste et paniqué.. l'enfant pensa à autre chose, si son chien est mort.. mais alorqs QUI LUI A LECHER LA MAIN????????????????


Voila pour la petite histoire

Rares sont les photographies montrant clairement un fantôme. Encore plus rares sont les fantômes s'affichant sans gêne au bras de deux jeunes filles !

On peut avoir les pieds sur terre et croire au fantômes. C'est ce que doivent aujourd'hui penser Jenny et Stephanie, deux bonnes copines de fac.
En effet, alors qu'elles se promenaient tranquillement avec un de leur ami, elles décident de prendre quelques photos avec l'appareil intégré dans le nouveau téléphone portable Nokia de Jenny.

Rien de plus banal qu'une petite photo donc...
Ce qui l'était moins c'est la sensation physique de Jenny qui a la curieuse impression d'être suivie depuis plusieurs minutes.
Elle affirme même à Stephanie qu'elle a senti quelqu'un lui prendre la main.
La conclusion tombe vite : cela doit être la petite brise légère qui souffle par moment.

Pourtant, en regardant les premiers clichés, nos deux amies sont un peu déçues.
Des sortes de parasites s'affichent sur l'écran du petit Nokia.
Comme des traces de lumières, devant leur visage, puis au-dessus de leur tête.
Mais une photo retient particulièrement leur attention.
A LEUR IMMENSE SURPRISE, CELLE-CI MONTRE COMME UNE SORTE DE BRAS TENANT JENNY !!

En rires et émotion, elles se précipitent chez elles, basculent cette photo sur leur PC et font un agrandissement.
Imaginons leur étonnement devant cette photo montrant clairement une entité non identifiée, un fantôme presque en chair et en os !...

Les professeurs de physique et de chimie qui ont étudié de près cette prise de vue inédite n'en reviennent pas non plus et ne trouvent aucun trucage, aucune manipulation.
Des centaines de photos sont alors prises avec le téléphone. Sans plus de succès puisque le fantôme mystérieux ne se montre plus.

Le Nokia est alors racheté par la fac et analysé, ouvert, démonté mais ne révèle pas ses secrets puisque aucun défaut n'est trouvé.

Mystère d'une vie parallèle ou problème technique ? Pour l'instant, cette photo reste une des rares cas dont la solution échappe à tout le monde.
Il n'y a pas eu trucage, voilà la conclusion.

Mais s'il n'y en a pas, que voyons-nous sur ce cliché ?... "

Wouah, la photo me donne des frissons dans le dos!
Pour l'histoire de la dame blanche là je sais pas du tout si c'est la vérité mais mon cousin m'a raconter qu'il l'à vu au bord de la route, a ce mmt là, il a fait demi-tour et est repartis en sens inverse. Mais cette histoire là, j'y crois pas trop. Sinon, une de mes amie m'a affirmer qu'elle avait vu chez elle, dans son salon, une femme vêtu de blanc...
Va savoir si ces 2 histoires sont vraies...
En tout cas, j'ai tendances à croire quand même au fantômes.
Et dans ma maison y'a un gars qui c'est pendu juste à l'endroit ou mes parents on leur chambres. (elle est juste à côté de la mienne) Et une fois, mes parents n'étaient pas chez moi et j'ai eu l'impression d'entendre quelqu'un qui avait beaucoup de mal à respirer. Peut-être que c'était l'effet de mon imagination. Mais bon, il était pas si tard et j'étais pas si fatiguer que ça...

J'adore celle de l'histoire du lêchage de main ! C'est flipant ! Mais c'est qui qui lui lêchais la main ?

haaaaaa! Pourquoi j'ai lu??? En plus je suis peureuse! Je vais pas dormir cette nuit

sérieux, elles sont génial tes histoires! tu peux en remettre d'autres? S'il te plait!

Pas de problème !! En voila d'autres ...

Pourquoi n'es-tu pas aller voir les enfants ?
C'est l'histoire d'une baby-sitter qui a la charge de deux petits garçons dans une immense maison entourée d'une forêt.
Il se fait tard, les garçons sont couchés depuis longtemps et les parents n'arrivent toujours pas. Puis, le téléphone sonne.
La voix lugubre d'un homme se fait entendre:
" Pourquoi n'es-tu pas venu voir les enfants?"
Ce disant que cela devait être une mauvaise plaisanterie, la baby-sitter n'en tient pas compte.
Au bout de 15 minutes, le téléphone sonne à nouveau. La même voix ce fait entendre:
"Pourquoi n'es-tu pas venu voir les enfants?"
La baby-sitter commence à avoir la frousse mais elle n'en tient toujours pas compte. Au bout de 10 minutes, le téléphone sonne à nouveau:
" Pourquoi n'es-tu pas venu voir les enfants?"
Paniquée, elle appelle la téléphoniste et lui demande de retracer l'appel.
Au bout de trois minutes, la téléphoniste la rappelle lui disant de sortir au plus vite de la maison car l'appel a été localisé sur la deuxième ligne de la maison qui se trouve au deuxième étage.
Paniquée, la jeune fille s'enfuie.
Le soir même, lorsque les policiers arrivent sur les lieux, ils ont retrouvé les deux enfants éventrés et mutilés...

Une très vieille dame restant seule dans une grande maison écarter de la ville, attend son garçon qui doit lui rendre visite et qui n'est toujours pas arrivé.
Elle est assise dans une chaise berçante, elle lit un livre toute en caressant son chien.

Après quelques instants, elle entend un bruit venant de la cuisine, c'est le robinet de la cuisine qui coule, goutte par goutte. Elle se lève, puis va le fermer et revient ensuite, s'installe a nouveau, reprend son livre, et recommence a caresser son chien.
Soudain, le bruit recommence, mais cette fois si il ne provient pas de la cuisine, mais de la chambre de bain du premier étage. Elle se relève donc, se rend jusqu'à la chambre de bain, puis ferme le robinet qui coulait à un rythme plus rapide que la première fois.
Encore une fois, elle retourne s'asseoir puis continue a lire son livre toute en caressant son chien, mais quelques instants plus tard, elle entend se bruit : l'eau qui coule à goutte par goutte a un rythme endiablé.
Elle passe donc devant la cuisine, rien le robinet ne coule pas, les toilettes du premier étage, toujours rien, elle monte donc au second étage, puis se rend à la salle de bain, le robinet coule, elle le ferme donc, mais constate que le bruit persiste et il qu'il est tout proche.
Elle remarque que le rideau de douche est tiré! Elle s'approche, et tire d'un coup sec le rideau! A sa grande surprise, elle aperçois son chien égorgé qui saigne goutte par goutte dans le bain !!!


La question persiste toujours: Qu'est-ce qu'elle pouvais bien caresser ???

Restons dans le domaine des fantômes sur cette photo il y a un fantôme à toi de le trouver

Edité par Faithlove le 23/08/2005 à 17:24

J'adore ça aussi!J'ai vu plein de blogs sur des histoires de fantômes!Ca me fiche la trouille!

Sur la photo vous pouvez me dire ou se trouve le fantome car je le vois vraiment pas !

regard derrière le porte manteau le truc qui ressemble a un rideau mais ça serai le troisième ridaue de a fenètre alors que t'en a que deux normalement lol

en fait jme suis planter ma mère a trouver il est assis sur le fautille tu voi sa main sur l'acoudoir et une partit de son visage

Ah ouais merçi beaucoup !! J'ai eu du mal comme meme, lol...